« La chronique saisissante d’une communauté rurale. C’est peu dire que l’écriture est à la hauteur : elle est nette, tendue, puissamment suggestive,et récuse sans mollir tout pathétique. » Sur cet ouvrage, qui valut à son auteur un procès pour atteinte à la vie privée, Jean-Pierre Siméon écrit encore : « J’ose même dire que l’effet de vérité venge d’une certaine façon ici ceux que l’existence malmène. Elle leur rend la dignité d’une présence, fût-ce dans l’aveu de ses misères et de ses défaites. »
« On est du côté de René Fallet (en plus douloureux), de Marcel Jouhandeau (en moins cruel), de Pierre Michon (en aussi minuscule…). » Jean-Marie Borzeix