Lire l’article d’Étienne de Montéty dans Le Figaro, le 19 juin 2009 :
« Le récit de Geoffroy de Larouzière, sobre et modeste, lui vaut une préface de Jean-Claude Guillebaud, qui utilise pour le qualifier d’une expression insolite : « une troublante probité ». C’est que l’auteur ne joue pas. Il ne dissimule pas son sang-froid sous un héroïsme de théâtre, ses moments de lassitude sous un spleen avantageux. […] C’est de cette simplicité que se dégage probablement le charme du livre. Le lecteur fait siens les moments d’émotion ou de fatigue de l’auteur. Il s’agace avec lui du ballet des « officiels », généraux ou ministres étrangers, curieux de visiter le bataillon français comme on traverse une ménagerie. […] Les militaires en lisant ce récit retrouveront sans fard leur expérience en opérations extérieures. Les civils, comme vous et moi, découvriront la confession d’une belle âme, dotée d’une belle plume. »
Lire l’article « Un tirailleur à Kaboul : carnet d’un humaniste » de Jean-Dominique Merchet sur le blog Secret Défense, le 23 juin 2009 :
« La plume démange les officiers d’aujourd’hui et c’est tant mieux. Pour la pensée militaire, évidemment, et parfois pour le simple plaisir de lire un beau texte. C’est le cas du petit livre Journal de Kaboul que vient de publier Geoffroy de Larouzière-Montlosier, lieutenant-colonel au Cours supérieur d’état-major. […] Le lecteur civil découvrira, de l’intérieur, ce qu’est un séjour en opex pour du maintien de la paix, comme il y en eut tant dans les Balkans, au Liban et, au début, en Afghanistan. »
Lire l’article de Luc Chatel dans Témoignage chrétien :
« L’un des livres les plus surprenants de l’année. […] Le style est vif, clair, limpide. Formons le vœu que l’auteur laisse tomber les armes et bascule une fois pour toutes du côté des lettres. »
Lire le livre du mois dans le n°341 de Armées d’Aujourd’hui, juin 2009